C'est une épopée française : la culture partagée, des vendeurs prescripteurs. Internet a bouleversé le modèle. Aujourd'hui, la Fnac joue son va-tout. Place à l'industrie du bien-être...

"La criminalisation de la lecture a bien avancé. Aux États-Unis d’Amérique dans ce que nous appelons les procès terroristes, nous voyons désormais souvent des recherches Google faites par des particuliers utilisées comme preuves de leur comportement criminel. La recherche de la connaissance est devenue une preuve dans les procès de terrorisme organisé. Nous rendons criminel l’acte de penser, lire et chercher."
Et voir aussi passage sur l'anonymat.

"Ce n'est plus le fichier ePub qui est interopérable en tant que tel, c'est la logique de la bibliothèque sur Google, croisée avec ce que Google sait déjà de vous."

c'est le 1er avril ?

"On dirait qu’avec MO3T on propose aux éditeurs ce qui pourrait enfin leur rendre le numérique, vraiment, mais vraiment attractif : la transformation complète de l’objet de leurs ventes en une pure cession de droit d’exploitation"

"fameuse courbe publiée par iSuppli qui nous envoyait pour certains les livres électroniques au rang des dinosaures la semaine dernière, revoir mon billet. Plusieurs remarques qui viennent modérer grandement le modèle selon moi."

Sur ce point donc, bravo à la BM de Lyon qui n’a pas cédé à la solution de facilité, mais qui a su faire les investissements nécessaires pour sauvegarder son indépendance technique.