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« Tout ce que vous pensez qu’il est interdit de faire en bibliothèque en raison de la propriété intellectuelle… mais qui en réalité est permis ! » : voilà la thématique que je devais traiter et il m’a rapidement semblé que la meilleure manière de le faire était de réaliser une carte heuristique répertorier et classer les usages autorisés des oeuvres en bibliothèque
Les cathédrales du papier deviennent des temples des données: la Bibliothèque de Genève lance la réflexion
Le propos de l’auteur est de distinguer, au sein de la longue histoire de l’imprimerie et de la diffusion des imprimés, une période qui soit spécifiquement celle du développement de l’édition proprement dite : le XIXe siècle.
L’enquête menée par le MOTif part d’un constat a priori simple : les petits éditeurs souhaitent être plus présents dans les rayons des bibliothèques, tandis que les bibliothécaires peuvent regretter de ne pas connaître ces mêmes éditeurs et par conséquent de ne pouvoir présenter leur travail. Pour identifier les difficultés mais aussi les bonnes pratiques, des entretiens ont été menés avec des bibliothécaires, des éditeurs, des libraires, des structures de vente aux collectivités et des structures de diffusion ...
La même offre de livres que l'on retrouve déjà chez les acteurs d'offres d'abonnement, à savoir Youscribe, Youboox et KindleUnlimited. En attendant celle de MacDonald sans doute...JFD Conseil, l'agence qui organise par ailleurs le prix SNCF du polar, se charge de l'animation de l'application, avec la mise en avant de titres, en fonction de l'actualité, et de la région où se trouve l'utilisateur de l'application
Un peuple du livre, réfractaire aux illusions numériques, qui défend ce pour quoi il se bat au quotidien, à contre-courant des processus qui endommagent nos capacités de lecture, de contemplation, de réflexion, d’écoute et d’abandon esthétique, pourtant si nécessaires à la construction de soi et au bien-être collectif.
"Le livre, dans sa linéarité et sa finitude, dans sa matérialité et sa présence, constitue un espace silencieux qui met en échec le culte de la vitesse, permet de maintenir une cohérence au milieu du chaos. Point d’ancrage, objet d’inscription pour une pensée critique et articulée, hors des réseaux et des flux incessants d’informations et de sollicitations, il est peut-être l’un des derniers lieux de résistance."
Datée de novembre 2015, une grande saga du livre numérique de juillet 1971 à nos jours, basée sur le suivi de l'actualité au fil des ans et sur une centaine d’entretiens poursuivis pendant plusieurs années en Europe, en Afrique, en Asie et dans les Amériques.
Le moment est venu, semble-t-il, pour les bibliothèques de sortir d’une période d’expérimentations diverses, qui a trop duré, et de se positionner clairement et de manière pérenne sur l’offre de services en matière de livres numériques. Or c’est par l’esprit de compromis et non par l’affirmation de principes intangibles qu’elles y parviendront.
Est-ce que les technologies « programmatiques » utilisées en publicité pourraient automatiser et personnaliser la distribution de contenu culturel et éditorial ?
Livres papier ou livres numériques ? Qu'en pensent les Sarthois croisés dans les allées de la 25e Heure du livre ?
une définition des humanités numériques qui est étonnamment plus proche des enjeux de la recherche que des buzzwords que nous assènent parfois certaines des communications de l’Elysée.
Fait marquant de l’actualité juridique et culturelle de l’année, l’ordonnance du 12 novembre 2014 a sorti le vénérable contrat d’édition de sa torpeur. Si la réforme prend acte du fait numérique, elle va bien au - delà d’une simple modernisation. Des pans entiers du régime juridique de ce contrat sont repensés : formalisme, obligations de l’éditeur, fin et évolution du contrat. Ces nouvelles dispositions, techniques et denses, sont aussi l’occasion d’ouvrir une réflexion sur l’identité de ce contrat.