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Saint-Sulpice-la-Forêt, située dans la métropole rennaise, a reçu en décembre 2017 le label or des territoires innovants à l’occasion du forum des Interconnectés. 1 500 habitants seulement et pourtant des idées à revendre : au point de susciter la curiosité des très grands, à l’instar d’une délégation dépêchée de Shanghai pour s’inspirer des réussites de la commune. Entretien avec Yann Huaumé, maire de Saint-Sulpice-la-Forêt et vice-président « numérique et ville intelligente » de Rennes Métropole, à l’initiative du projet « Smart Saint-Sulpice ».
"Dans un article sur Médium (Community Technology — Narrative Adventures and Adaptations), la canadienne Bianca Wylie (@biancawylie) revient sur les moyens utiles à la société civile pour interroger des choix technologiques d’envergure. L’activiste, qui a mené la résistance face au projet de smart-city dans le quartier de Quayside, à Toronto (projet qui prévoyait la refonte de toute une partie du littoral par Sidewalk, une filiale de Google), ne prétend pas réinventer la roue, mais rappeler quelques évidences toujours utiles. "
"Les connaissances scientifiques actuelles permettent de clarifier le bien-fondé de certaines règles qui suscitent des désaccords. Pour d’autres règles, pourtant défendues ou contestées de manière très assertive, il faut savoir reconnaître que les connaissances actuelles ne permettent pas encore de trancher. La recherche doit continuer à se faire afin d’apporter des arguments aux outils proposés."
https://territoire-numerique-libre.org/edition-2020/
Le formulaire de candidature évalue l’implication et les initiatives de la collectivité territoriale dans cinq domaines : la stratégie, l’interopérabilité et l’accessibilité, les logiciels et systèmes libres, la communication et l’éco-système, et l’ouverture des données publiques. Il n’est pas nécessaire que la collectivité soit active dans chacun des champs couverts par le label, mais plus elle remplira de critères, et plus le niveau de son label pourra être élevé.
Plusieurs cafés associatifs membres du Forum des cafés collectifs de Bretagne ((Un café des possibles de Guipel (35), Le Guibra de Saint-Sulpice-la-Forêt (35) et l’équipe du Champ Commun de Angan (56)) ont rédigé un manifeste pour exprimer leur inquiétude et leur désaccord avec la démarche du groupe SOS « qui vient vider de leur substance des initiatives reposant sur une mobilisation citoyenne et locale ». Le manifeste critique notamment la structure pyramidale du groupe, le désinvestissement des citoyens que cela provoque au local, mais aussi l’absence de contre-pouvoir dans la structure et la démarche gestionnaire et entrepreneuriale du groupe, qu’ils jugent éloignée des valeurs de l’économie sociale et solidaire. Dans son manifeste, le groupe de cafés associatifs met également en avant la nécessité de voir naître ces projets par un portage de la communauté qui l’accueille, et non pas par une structure descendante « venue de loin ». Ils affirment que « Le groupe SOS incarne une vision qui va à l’encontre des fondamentaux de l’ESS et cherche à l’amener sur le terrain du seul « entrepreneuriat social ». Le groupe exprime également des inquiétudes sur le type de gouvernance et le modèle économique du groupe SOS : « Nous craignons également la logique de centralisation et la dérive managériale qui y est associée, au regard des dynamiques promues par ce groupe ».
étude de l'ensibb (en pdf)
le thème municipaliste peut effrayer certaines listes, notamment dans de petites villes, du fait de sa radicalité apparente (anticapitaliste, féministe, écologiste). Les listes participatives se présentent donc ici comme un mouvement « de gauche », c’est-à-dire qu’elles mobilisent des individus assumant cette identification, tout en maintenant une très forte volonté de rupture vis-à-vis des étiquettes partisanes. L’empressement récurrent de ces listes à évoquer leur dimension « citoyenne » ne se substitue donc pas intégralement à un ancrage politique à gauche plus traditionnel.
Cahier de propositions en contexte municipal
Principe A : Sensibilisation et formation à la transitionImpulser et soutenir des actions de sensibilisation et de formation sur la transition auprès de différents publics : élu es, agent es territoriaux, jeunes, habitant es, acteurs économiques, etc.⋅⋅⋅Principe B : Co-construction des politiques locales Engager un processus de construction collective de politiques locales, en associant élu es, citoyen nes, ⋅⋅agent es et représentant es des acteurs locaux, pour la mise en œuvre et le suivi des engagements du ⋅⋅Pacte pour la Transition.Principe C : Intégration des impacts à long terme et de l’urgence climatique et socialePour répondre à l'urgence climatique et sociale, intégrer des critères environnementaux et sociaux, ainsi que les impacts à long terme décisifs dans les arbitrages des projets locaux et dans l’organisation de la commune et ses groupements.
Le RGPD impose à toutes les structures publiques de désigner un délégué à la protection des données. Cela concerne les collectivités ainsi que tout organisme ou autorité publique locale agissant en tant que responsable de traitement ou sous-traitant (CCAS, EPCI, etc.).
En recourant à une procédure méconnue du Code rural, le maire de Moëlan a permis de mettre en culture des parcelles agricoles privées laissées à l’abandon. Une trentaine d’emplois doivent être créés d’ici deux ans et l’autonomie alimentaire de la commune sera renforcée.
LES DROITS CULTURELS Déclaration de Fribourg
Il y est donc précisé que « La responsabilité en matière culturelle est exercée conjointement par les collectivités territoriales et l’État dans le respect des droits culturels énoncés par la Convention sur la protection et la promotion de la diversité des expressions culturelles du 20 octobre 2005 »
À l'occasion des élections municipales de mars 2020, le RTES propose un kit MunicipalESS pour les futures équipes municipales et intercommunales souhaitant soutenir l'économie sociale et solidaire. Il sera présenté le 22 janvier à l'occasion du Conseil d'Administration du RTES.