60 liens privés
à critiquer : inflexion de la stratégie d'Apple mais non spécifique au livre ! Et: qu'y gagne le livre à part être qualifié de "service" ?
je ne recommande pas :(
"Le géant américain Microsoft ouvrira bien une librairie de livres numériques sur son MicrosoftStore, déjà fourni en jeux, films et musique, cela au printemps prochain. Le store français est ici. A l'instar d'Apple et de Google, Microsoft proposera les livres au format universel ePub avec une couche de DRM. Que présager de cette arrivée de Microsoft en libraire numérique? Au mieux comme Google une part bien modeste du marché. Au pire une inexistance totale ou presque, cela dépendra bien sûr du futur de Microsoft sur le marché du mobile. C'est pas gagné. C'est peut-être dans l'univers du jeu et des passerelles possibles avec les livres enrichis qu'il faudra être attentif. "
capitalisme linguisitique
Face à la puissance des GAFA, la division n’est pas un atout. à voir pour un exercice critique
La même offre de livres que l'on retrouve déjà chez les acteurs d'offres d'abonnement, à savoir Youscribe, Youboox et KindleUnlimited. En attendant celle de MacDonald sans doute...JFD Conseil, l'agence qui organise par ailleurs le prix SNCF du polar, se charge de l'animation de l'application, avec la mise en avant de titres, en fonction de l'actualité, et de la région où se trouve l'utilisateur de l'application
Grâce aux "mouchards numériques", il est désormais possible de savoir si un livre a été lu jusqu'au bout. Amazon, Apple, Google et Kobo en savent beaucoup plus sur vos habitudes de lecture que vous ne le pensiez...
Tous les acheteurs de livres numériques en France avec une DRM Adobe sont concernés.
"Ce n'est plus le fichier ePub qui est interopérable en tant que tel, c'est la logique de la bibliothèque sur Google, croisée avec ce que Google sait déjà de vous."
"On dirait qu’avec MO3T on propose aux éditeurs ce qui pourrait enfin leur rendre le numérique, vraiment, mais vraiment attractif : la transformation complète de l’objet de leurs ventes en une pure cession de droit d’exploitation"
Chronique du livre d'Alain Strowel. L'occasion de recenser les secteurs que bouscule Google.
"Peut alors jouer à plein l’effet de “blanchiment des contrats d’édition”, qui garantit aux éditeurs de conserver les droits, même sur les oeuvres pour lesquelles cela aurait pu être douteux (notamment les oeuvres orphelines). Google réalise alors en France, ce qu’il ne peut plus rêver d’atteindre aux Etats-Unis, en demandant in fine une licence d’exploitation à la société de gestion collective. "
Tribune d'Hadrien Gardeur.
indispensable. à relire plusieurs fois cependant.