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NDLR : bis répétita, du coup, on a du mal à comprendre (encore plus) l’installation précipitée des portillons dans le métro… autant les mettre à l’entrée des bus pour être à minima logique.
L’idéologie de la métropole, c’est la pensée qui accompagne cette réorganisation économique et politique. Pour les tenants de ce discours, chaque ville est un produit à positionner sur le marché des métropoles nationales et internationales. Pour concurrencer sa voisine, chaque métropole doit donc tenter de jouer de ses avantages comparatifs, de marchandiser ses particularités locales dans la culture, le sport, la gastronomie, etc. – quitte à s’en inventer des factices. Tout ce petit jeu ne visant qu’un seul but : attirer les capitaux sur son territoire et les nouveaux cadres dans son centre-ville.
"Selon lui, cette démocratie post-électorale serait une démocratie permanente. Favorisant les interactions, elle serait davantage en mesure de répondre aux attentes des habitants et des citoyens. Redditions de comptes, transparence, évaluation et interaction avec la société civile sont les quatre qualités de cette troisième forme de démocratie. "
Trafic, stationnement, sécurité routière... Grâce à l'intelligence artificielle, les caméras de vidéosurveillance deviennent une source de data exploitables pour les collectivités.
Dans "Les Echos", Elisabeth Borne explique que la réflexion est en cours avec de possibles dispositions dans le futur projet de loi sur les mobilités.
"Le municipalisme témoigne d’un renouvellement démocratique certain qui repositionne les acteurs.ices vis-à-vis de leur propre pouvoir et de celui de ceux qui les entourent dans l’action publique municipale. Il déstabilise les représentations et les pratiques du pouvoir héritées d’une démocratie représentative fatiguée, tout en faisant face aux vents contraires du regain de dirigisme et du repli sur soi. Il contribue à opérer un changement plus profond, de l’agir individuel à l’agir collectif et institutionnel. En cela, le municipalisme est subversif et questionne notre liberté et nos responsabilités dans la qualité démocratique de nos sociétés et de nos institutions. Il est une voie privilégiée de la transition démocratique pour laquelle l’IRG œuvre."
"Le statut, créé par la loi de réforme des collectivités territoriales du 16 décembre 2010, a été renforcé par les dispositions de la loi de modernisation de l’action publique territoriale et d’affirmation des métropoles (dite loi Maptam), puis élargi par la loi relative au statut de Paris et à l’aménagement métropolitain."