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Quimper, Ploërmel, Brest, Mauron, Josselin… Les signalements se multiplient en Bretagne. Des milliers d’habitants ont vu leurs données personnelles dérobées après une simple prise de rendez-vous en ligne pour refaire une pièce d’identité. L’ampleur de la fuite et ses conséquences pourraient être bien plus larges que prévu. On vous explique.
Les 10 questions à se poser pour mieux parler du handicap dans l’espace public
- Décrire ou caricaturer ? Faire preuve de délicatesse et éviter les jeux de mots, métaphores, images, comparaisons et clichés concernant les situations et les conditions des personnes (autisme, nanisme, schizophrénie, etc.).
- Nommer ou enfermer ? Ne pas réduire une personne à son « handicap » vu sous l’angle de la déficience, en la nommant par son handicap.
- « Victime », « héros », ou personne comme les autres ? Nommer les situations de handicap sans stigmatiser ou héroïser les personnes.
- Parler du handicap ou d’un environnement inaccessible ? Contextualiser les situations de handicap et montrer l’importance de l’environnement de vie des personnes.
- Qui pour parler du handicap ? Privilégier la prise de parole et l’expertise des personnes handicapées, sans les cantonner à une simple fonction de témoignage.
- Visibiliser ou invisibiliser le handicap ? Réfléchir, selon le contexte, à rendre visible ou non le handicap d’une personne.
- Témoin ou expert ? Donner la parole à des personnes handicapées sur d’autres sujets que le handicap.
- Quand parler du handicap ? Rendre ordinaires les personnes en situation de handicap en les évoquant sur des sujets qui n’en traitent pas a priori ou exclusivement.
- Réalisme ou sensationnalisme ? Sensibiliser au handicap sans faire de « handi-washing » ou utiliser le handicap comme un marronnier journalistique ou un titre accrocheur.
- Être arbitre ou complice ? Le rôle du journaliste ou de l’animateur d’une conférence est de conserver la neutralité et de rappeler les règles quand il y a un dérapage causé par une maladresse ou par une provocation volontaire.
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L’inspirothèque de Limites Numériques est une bibliothèque d’idées, d’expérimentations et de projets inspirants pour penser un numérique plus écologique. Ce travail est alimenté au fur et à mesure par notre veille, nos réflexions, vos retours et vos contributions.
Guide sur la culture numérique, pour développer ou renforcer sa « culture numérique », comprendre par là sa culture générale en matière de « numérique ». Ressource créée par Louis Derrac
Un socle commun d'outils numériques pour les collectivités
Nous avons cherché des mesures immédiates et applicables qui puissent emporter l'adhésion du plus grand nombre. Certaines d'entre elles visent simplement à limiter la dépendance à l'informatique pour rétablir une sécurité élémentaire face au risque de cyberattaques et de pannes des réseaux (d'électricité, de télécommunication...).D'autres visent à garantir l'accès aux droits sociaux et aux services publics sans numérique. D'autres encore servent à valoriser l'humain et à construire des emplois pérennes à l'échelle des communes. D'autres, enfin, veulent contribuer à limiter les dégâts écologiques et sanitaires du numérique.Certains points de ce programme permettent de réaliser des économies parfois substantielles, d'autres propositions appellent des investissements. Elles nécessitent, de toute façon, d'être adaptées à la taille et aux spécificités de votre commune.
Malgré ses débits faramineux, sa réactivité et sa capacité à connecter des myriades d’objets, cette technologie n’a pas accouché d’applications de rupture la rendant incontournable.
Municipales 2026 : de faux sites d'information locale soupçonnés d'être des outils d'ingérence russe et chinoise
Avec la hausse des taux d’emprunt, la crise du logement se manifeste en France avec une acuité qui met les promoteurs immobiliers aux abois. L’urbaniste David Rottmann décrit la responsabilité de ces derniers dans la crise qu’ils dénoncent, et ouvre des pistes pour une autre politique du logement.
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La journaliste et chercheuse Sophia Goodfriend qualifie toute cette affaire de « rafle de l’IA » et observe avec perspicacité : « Là où l’IA échoue techniquement, elle tient ses promesses idéologiques ».
Pour reprendre les termes du cybernéticien Stafford Beer, « il est inutile de prétendre que la finalité d’un système est de faire ce qu’il échoue constamment à faire ». « Le but d’un système est ce qu’il fait », disait-il. Et se concentrer principalement sur ce que le système ne peut pas réellement faire (comme le fait le battage médiatique) risque de détourner l’attention de ce qu’il fait réellement.
À la 80e session de l’Assemblée générale des Nations Unies, les dirigeants mondiaux ont l’occasion de prouver qu’ils comprennent les enjeux, non seulement de l’architecture technique d’un réseau, mais aussi de l’architecture morale de la liberté mondiale. « S’ils échouent, s’ils détournent le regard, s’ils laissent ce coup d’État se poursuivre sans être contesté, alors l’Internet ouvert ne s’éteindra pas d’un coup. Il disparaîtra clic après clic, pare-feu après pare-feu, jusqu’au jour où nous nous réveillerons et découvrirons que l’espace autrefois annoncé comme la plus grande expérience d’ouverture de l’humanité n’est plus qu’un instrument de contrôle parmi d’autres. Et là, il sera trop tard pour riposter. »