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Pour en revenir à l’édition indépendante, je pense qu’il est dans sa nature de chercher à se faire une place. Je ne dirais pas que l’édition indépendante cherche nécessairement à devenir majoritaire, à occuper les fauteuils de l’édition dominante. C’est le cas de certains éditeurs indépendants, qui ne sont indépendants que par défaut, parce qu’ils viennent de se créer et sont à l’aube de leur stratégie de croissance. En revanche, beaucoup d’indépendants se satisfont très bien de leur taille, parce qu’ils savent qu’il serait illusoire de vouloir grandir sans devoir renoncer à des principes auxquels ils tiennent. Tous les indépendants souhaitent néanmoins se maintenir, continuer à exister, laisser une trace. Et réinventer si possible les normes de l’institution éditoriale, à la fois parce qu’il est dans leur intérêt de le faire et parce qu’ils souhaitent inscrire au sein de la profession les valeurs qui leur sont propres. La plupart de ces réformes, il est vrai, ne sont pas des remises en cause fondamentales du système, pour la bonne et simple raison que les indépendants font partie intégrante du système. À la marge, mais dans le système. Un système symbolique et commercial. Le seul fait d’attribuer un ISBN et de mettre votre livre en distribution vous fait entrer de facto dans une logique commerciale. Et les relations de dépendance qui se créent, par exemple à un diffuseur qui appartiendrait à un groupe d’édition, conduisent à des formes d’autocensure. Il existe des variantes d’édition et de littérature plus « sauvages » comme le diraient Jacques Dubois et Denis Saint-Amand, hors institution et hors marché, mais ce n’est pas le cas ici. Ce n’est pas un problème en soi. C’est même une constante de l’édition indépendante pour se singulariser : donner à croire qu’elle peut torpiller de l’extérieur une institution à laquelle elle n’appartiendrait pas.
NDLR : bis répétita, du coup, on a du mal à comprendre (encore plus) l’installation précipitée des portillons dans le métro… autant les mettre à l’entrée des bus pour être à minima logique.
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Saint-Sulpice-la-Forêt, située dans la métropole rennaise, a reçu en décembre 2017 le label or des territoires innovants à l’occasion du forum des Interconnectés. 1 500 habitants seulement et pourtant des idées à revendre : au point de susciter la curiosité des très grands, à l’instar d’une délégation dépêchée de Shanghai pour s’inspirer des réussites de la commune. Entretien avec Yann Huaumé, maire de Saint-Sulpice-la-Forêt et vice-président « numérique et ville intelligente » de Rennes Métropole, à l’initiative du projet « Smart Saint-Sulpice ».
*cf Van Gogh Letters
"Dans un article sur Médium (Community Technology — Narrative Adventures and Adaptations), la canadienne Bianca Wylie (@biancawylie) revient sur les moyens utiles à la société civile pour interroger des choix technologiques d’envergure. L’activiste, qui a mené la résistance face au projet de smart-city dans le quartier de Quayside, à Toronto (projet qui prévoyait la refonte de toute une partie du littoral par Sidewalk, une filiale de Google), ne prétend pas réinventer la roue, mais rappeler quelques évidences toujours utiles. "
"Les connaissances scientifiques actuelles permettent de clarifier le bien-fondé de certaines règles qui suscitent des désaccords. Pour d’autres règles, pourtant défendues ou contestées de manière très assertive, il faut savoir reconnaître que les connaissances actuelles ne permettent pas encore de trancher. La recherche doit continuer à se faire afin d’apporter des arguments aux outils proposés."
"Nous avons ainsi bénéficié de cinquante ans de travail des fans sur le roman pour apporter des révisions au texte."
voir et reprendre "fonction émancipatrice"
Heureusement #remolino : "Dans ce contexte, je pense qu’il faut surtout voir l’IA comme un puissant moyen d’offrir aux livres la place qu’ils méritent dans cette grande toile du savoir et de l’imagination humaine. L’IA doit servir à outiller les libraires et les bibliothécaires pour qu’ils accompagnent encore plus efficacement les lecteurs à travers tout ce qui s’écrit – qui ne prend plus toujours la forme traditionnelle du livre et qui n’est plus forcément distribué par les canaux commerciaux habituels. "
Les repères :
Absolu/relatif –Abstrait/concret –Enacte/enpuissance –Analyse/synthèse –Concept/image/métaphore–Contingent/nécessaire –Croire/savoir -Donné/construit–Essentiel/accidentel –Exemple/preuve-Expliquer/comprendre –En fait/en droit –Formel/matériel –Genre/espèce/individu –Hypothèse/conséquence/conclusion–Idéal/réel –Identité/égalité/différence –Impossible/possible–Intuitif/discursif –Légal/légitime –Médiat/immédiat –Objectif/subjectif/intersubjectif–Obligation/contrainte –Origine/fondement –Passion/action–Persuader/convaincre–Principe/cause/fin–Public/privé–Question/problème–Ressemblance/analogie –Théorie/pratique –Transcendant/immanent –Universel/général/particulier/singulier –Vrai/probable/certain.
Les notions :
L’art/ Le bonheur/ La culture/ Le désir/ Le devoir/ L’État/ L’existence/ L’expérience/ L’histoire/ L’inconscient/ La justice/ Le langage/ La liberté/ La nature/ La raison/ La religion/ La science/ La technique/ Le temps/ Le travail/ La vérité.
Une librairie au Blosne ? Cette folle idée a été lancée par trois associations : Les éditions du commun, basées au Blosne, publient des livres de sciences sociales ; la librairie associative Des idées et des livres, basée à Bécherel, est spécialisée sur les sujets d'économie sociale et solidaire ; la conciergerie de quartier Au P'tit Blosneur œuvre à la mise en réseau des habitants, dans une dynamique solidaire.
“What’s the difference between ResearchGate, Academia.edu, and the institutional repository?”
“I put my papers in ResearchGate, is that enough for the open access policy?
These and similar questions have been been common at open access events over the past couple of years. Authors want to better understand the differences between these platforms and when they should use one, the other, or some combination.
First, a brief primer on what each service has to offer:
https://territoire-numerique-libre.org/edition-2020/
Le formulaire de candidature évalue l’implication et les initiatives de la collectivité territoriale dans cinq domaines : la stratégie, l’interopérabilité et l’accessibilité, les logiciels et systèmes libres, la communication et l’éco-système, et l’ouverture des données publiques. Il n’est pas nécessaire que la collectivité soit active dans chacun des champs couverts par le label, mais plus elle remplira de critères, et plus le niveau de son label pourra être élevé.