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A broad civil society coalition is sounding the alarm on Big Tech and Big Publishing’s unchecked power over digital books—and surveillance of those who read them. This letter is the first time that such a broad constituency has called for federal action on these matters.
Voilà l’idée : si on estime légitime de hausser nos exigences en matière de lisibilité au nom de l’accessibilité, alors je pense qu’il est tout aussi légitime de questionner nos choix d’outils de création de documents à l’aune de ces mêmes exigences. Je ne suis pas le plus anti-traitement de textePour ça il y a des textes comme celui de Marcello Vitali-Rosati, « Les chercheurs en SHS savent-ils écrire ? », 2018, ou celui de Julien Dehut, « En finir avec Word ! », 2018.
– j’aime beaucoup LibreOffice – mais à un moment on ne peut pas poser le traitement de texte comme le paradigme dans lequel s’inscrit une réflexion, puis présenter les problèmes comme s’ils ne découlaient pas de ce choix.Dans un billet précédent, j’ai écrit que « le bon outil » n’existe pas dans l’absolu mais relativement à un problème donné. Le corollaire de ça, c’est que pour tout problème donné il existe de « mauvais outils ». Tout dépend de ce qu’on veut faire. Mais sur les questions d’accessibilité et de lisibilité, je ne suis pas convaincu que poser le traitement de texte comme paradigme est une bonne manière d’impulser un changement positif.
Après de longs mois de polémique, le nouvel album de "Gaston Lagaffe" sort en librairie mercredi. Franquin, le créateur, ne souhaitait pas que son personnage lui survive et c'est pourtant ce qui arrive avec cet album signé Delaf.
Le responsable de la programmation culturelle à la Cité de la BD d'Angoulême, Mathieu Charrier, trouve ce débat un peu absurde aujourd'hui. "Quand on voit la manière dont les comics américains sont repris par une multitude de créateurs et parfois pour des reprises fantastiques, je pense à Batman par exemple ou quand on voit qu'au Japon, les mangas sont écrits par toute une flopée de ce qu'on appelle les assistants qui dessinent, on se dit que là, c'est quand même une position très franco-belge. Se dire que quelqu'un va adopter votre enfant à votre décès, ça vous fait mal au cœur. Mais in fine, il faut se dire aussi que votre enfant va continuer à vivre. Ce qui me semble très important, c'est qu'il ne faut pas en faire n'importe quoi", explique-t-il.
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