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C’est cette relation qui organise encore les différences immédiatement perçues entre les différents types de publications imprimées et les attentes de leurs lecteurs, guidés dans l’ordre ou le désordre des discours par la matérialité même des objets qui les portent. Et c’est cette relation, enfin, qui rend visible la cohérence des œuvres, imposant la perception de l’entité textuelle, même à celui ou celle qui n’en veut lire que quelques pages. Il n’en va plus de même dans le monde de la textualité numérique puisque les discours ne sont plus inscrits dans des objets qui permettent de les classer, hiérarchiser et reconnaitre dans leur identité propre. Le monde numérique est un monde de fragments décontextualisés, juxtaposés, indéfiniment recomposables, sans que soit nécessaire ou désirée la compréhension de la relation qui les inscrit dans l’œuvre dont ils ont été extraits.
Bonne synthèse sur les droits d'usage du livrel.
"Cependant, nous ne pouvons nous résoudre à réduire le livre et son contenu à un flux d'informations numériques et cliquables ad nauseam ; ce que nous produisons, partageons et vendons est avant tout un objet social, politique et poétique. Même dans son aspect le plus humble, de divertissement ou de plaisir, nous tenons à ce qu'il reste entouré d'humains."
Point pertinent : le débat livre/flux.
Position typique et récurrente dans le domaine du livre (cf. le refus du livre de poche, le refus des code-barres).
Triste et affligeant par la méconnaissance du sujet.